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Le HCFEA publie son rapport sur « L’évolution des dépenses sociales et fiscales consacrées aux enfants à charge au titre de la politique familiale : bilan des réformes des vingt dernières années »

Le HCFEA publie son rapport sur « L’évolution des dépenses sociales et fiscales consacrées aux enfants à charge au titre de la politique familiale : bilan des réformes des vingt dernières années »

 

Le HCFEA publie son rapport sur « L’évolution des dépenses sociales et fiscales consacrées aux enfants à charge au titre de la politique familiale : bilan des réformes des vingt dernières années »

 

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Le rapport du conseil de la famille « L’évolution des dépenses sociales et fiscales consacrées aux enfants à charge au titre de la politique familiale : bilan des réformes des vingt dernières années » vient d’être publié. L’Unaf, membre du HCFEA a contribué à son élaboration.

Le rapport appelle à « sortir de la logique de rabotages continus et de coupes plus massives ». Il souhaite « Le retour à un financement de la branche famille par des ressources stables évoluant au même rythme que le PIB doit permettre de garantir le niveau des aides actuelles, et de dégager, année après année, des ressources pour répondre à des besoins sociaux prioritaires des familles, actuellement non ou mal couverts. »

Il rappelle aussi l’importance des mesures de conciliation vie familiale et professionnelle et d’accueil du jeune enfant, et propose notamment de :

réformer la Prepare et les divers dispositifs de congés destinés aux parents dans le sens des orientations avancées par le HCFEA, pour corriger les défauts de la prestation, pour diminuer les contraintes temporelles des parents et agir sur les inégalités entre les femmes et les hommes, et pour favoriser le maintien dans l’emploi ou l’insertion professionnelle des parents ;

garantir une meilleure revalorisation des barèmes et des plafonds, en les faisant évoluer comme les salaires quand elles ont pour finalité de couvrir des besoins qui évoluent plutôt comme les salaires (les compléments mode de garde destinés à prendre en charge une partie des salaires des professionnelles, les revenus remplaçant une réduction d’activité et de salaires, et en particulier la prestation partagée d’éducation de l’enfant).

Il souligne enfin que la politique familiale doit continuer à concerner toutes les familles, des plus aisées aux moins aisées : « Le principe d’universalité doit rester en vigueur, car ce principe est nécessaire à un soutien durable et à la pérennité des politiques en direction des familles. »

Il est en ligne ICI

Et sur le site de France stratégie ICI